Grenade est unique
"« Le voyageur peu averti trouvera avec la variété de formes, de lumière et de senteurs la sensation que Grenade est la capitale d’un royaume d’art et de littératures uniques. Il trouvera un mélange insolite de la Grenade juive et la Grenade mauresque, qui semble avoir disparues à cause du christianisme mais vivante et incorruptibles dans sa même ignorance.
La prodigieuse cathédrale, la grande représentation impériale et romaine de Carlos V, n’évite pas le petit magasin du juif qui prie devant une image faite avec l’argent du candélabre à sept branches, comme les sépulcres des Rois Catholiques n’ont pas empêché que le croissant rouge sorte de temps en temps sur la poitrine des plus fidèles fils de Grenade. La lutte continue sombre et sans expression… ; sur la colline rouge de la ville il y a deux palais, morts tous les deux : La Alhambra et le palais de Carlos V, qui soutiennent le duel à mort qui est dans la conscience du grenadin actuel. "Federico García Lorca. Impressions.